"Diana" Vous écoutez Déferlante, podcast provocateur de plaisir. *** Je n'aime que les gamins, et toi t'en es un. Tu as 25 ans et la frimousse espiègle. Moi, j'en ai 55 et la fatigue qui va avec. Laisse-moi te dire que... je préfère les relations très simples: je te plais, tu me plais, on fait un bout de chemin ensemble. On sort le soir, on baise la nuit, et on se raconte nos secrets au petit matin. Je ne veux te guérir de rien, je ne suis pas ta mère, et je n'ai certainement pas besoin que tu me sauves, oh non! Je veux juste qu'on soit deux êtres humains adultes, qui tiennent debout tout seuls, et qui se font l'amour. Tout simplement. Longuement, au-delà des convenances. Juste pour le plaisir. Pour la beauté du geste. "Por el arte." Je te regarde, tu me suis des yeux d'un air légèrement ahuri, mais ton sourire est si confiant, trop confiant. A vrai dire, je suis un peu timide, légèrement incertaine. Depuis 10 ans, ma libido est en feu. Je n'aime que les jeunes, dans leur 20aine. Evidemment, tu n'es pas le premier. Et tu ne seras certainement pas le dernier. J'aime la désinvolture, le côté insouciant de ces gamins, qui veulent tout découvrir, tout essayer. Et si possible, tout faire, en une seule nuit. Ils ont le compliment maladroit, la séduction courte sur pattes, mais... la verge tellement raide. Quand ils sont bien excités, la levrette claque sec. Ils jouissent à flots et à râles. Avec une sorte de reconnaissance heureuse, au bout de leur queue frétillante. A la fin, quand ils ont tout donné, ils vous regardent attendris, du coin de l'oeil. Ils n'ont pas les mots pour le dire, comme le ferait un 50naire blasé: "oh, j'ai beaucoup aimé, et toi?" Nah, ces jeunes... en moins de temps qu'il ne faut pour renfiler une petite culotte, ils sont déjà prêts à vous baiser à nouveau. Et ça... ça en dit long sur leur désir. Toi, je te vois, je vois que tu bandes. Dur. Mon regard posé sur toi fait que ta verge, belle et désirable au repos, est déjà gonflée à bloc. Prête à conquérir mon monde. Mais moi, ce soir, j'ai envie de la mater, va savoir pourquoi. Les hormones, sûrement! Tu portes un boxer moulant sur ta queue érigée. Ton derrière est ferme. Dans d'autres circonstances, je remplirais mes mains de tes fesses. Et ma bouche de ta verge. Je vais me gêner, tiens! Mais ce soir, non, pas trop envie de sucer. J'ai surtout envie de sortir des sentiers battus. J'ai envie d'un défi, d'un jeu interdit qui pourrait révéler une si belle queue, indomptable! Celle qui n'en fait qu'à sa tête de gland parce qu'elle sait qu'elle a belle allure. Qu'elle est tellement veloutée, qu'on n'a qu'une envie... enfin la sucer. Je me suis souvent posé la question: "qui faut-il choisir entre un gamin de 20 ans et un 50naire"? La jeunesse ou l'expérience? Le jeune te soupèse du regard, tu l'entends littéralement saliver. Si tu lui dis "lèche-moi" d'un air un peu autoritaire, il le fera comme s'il devait recopier 100x "j'aime la chatte". Bien penché sur l'ouvrage, et la langue bien tirée. Aucun détail ne sera laissé au hasard, pour finir, ta chatte prendra feu, c'est à devenir dingue. Parce que tu vois... c'est pas ta chatte qu'il lèche, mais son égo. Et tu peux être sûre et certaine que ce sera très bien fait. Alors que le 50naire... certes, t'auras droit aux égards préliminaires, à un petit lustre d'égo avec des mots savamment choisis, mais une fois à poil, il attendra que tu le toises, que tu l'admires. Il travaille dur à la salle, alors il aimerait t'entendre saliver. Et c'est toi qui devra le lécher de façon appliquée, la langue bien tirée, pour lustrer son égo à ton tour et faire durcir... sa queue. Quand j'étais plus jeune, je ne savais pas que j'avais du sex-appeal. Je m'en doutais... mais vaguement, en bonne mère de famille. Aussi, je m'en foutais, royalement. J'avais d'autres priorités. Et puis un jour, j'ai rencontré un gamin de 23 ans, à la boulangerie, bêtement. J'en avais 45, et j'étais presque amnésique du plaisir. Ce plaisir, qui n'était plus qu'un souvenir lointain. Tapi dans le brouillard d'avant la maternité. Et ce gamin, il avait quitté la boulangerie sans rien acheter il m'avait suivie dans la rue, il avait pris son courage à deux mains, pour s'approcher et me dire, à coeur perdu: "- Vous êtes si belle! Pardon." J'ai littéralement inondé ma culotte, là debout sur le trottoir, sans préméditation. Et cette déferlante chaude, visqueuse m'avait surprise. J'ai eu envie, sur le champ, de glisser ma main dans ma culotte, pour vérifier que je ne rêvais pas. Comme je connaissais bien le quartier, j'ai souri et je l'ai pris par la main: "- Viens!" Confiant, il s'est laissé faire. J'aurais juré qu'il bandait sa vie, tellement il m'avait l'air électrique. Je savais que deux rues plus loin, il y avait un "love hôtel", j'ai demandé une chambre pour l'après-midi. Une fois la porte refermé derrière nous, je l'ai juste laissé faire: et il m'a baisée dans tous les sens, pendant plusieurs heures. D'abord, il m'a fait descendre à genoux devant lui, sûrement un fantasme inassouvi. Il l'a fait grossièrement, maladroitement, avec impatience, en appuyant ses mains sur mes épaules. Mon envie de le sucer et la gravité terrestre ont fait le reste. Je me souviens de ma bouche à hauteur de son entre-jambes. Il a défait sa ceinture, ses doigts... je les voyais, ils étaient impatients, et j'entends encore le bruit des boutons de son jeans, défaits l'un après l'autre. Il a sorti sa queue, qui m'avait paru immense. Mon visage était si près, que je crois bien avoir louché. Il était raide comme un piquet. Son gland était rose et gros. Lisse comme une pêche. D'une main, il tenait fermement sa queue dressée, de l'autre, il avait empoigné mes cheveux. Et il s'est glissé au fond de ma gorge d'un coup, en conquérant, comme pour me dire: "- Vas-y, suce!" Alors je l'ai sucé. D'une façon nouvelle pour moi, comme je ne l'avais jamais fait auparavant. Au début, ma réticence semblait l'exciter encore plus. Moi, je cherchais des repères. Sucer une queue inconnue n'est pas une mince affaire. Surtout quand on n'a plus l'habitude. Il se branlait si vite dans ma bouche, je l'entendais siffler comme un boeuf, il aimait s'enfoncer, me remplir. Déborder. Moi, j'étouffais presque, j'en suis venue à espérer son foutre enfin et la délivrance. Qui se faisaient attendre. Par à coups, il me laissait du répit, il reculait sans jamais vraiment me libérer. Puis, il revenait au fond de ma gorge, aussi, au bout d'un moment c'est devenu un jeu: le chat et la souris. J'avais mal aux mâchoires, alors j'ai décidé d'en finir. Je l'ai tellement pompé, léché et aspiré, qu'il vacillait sur ses jambes, et à la fin, c'est moi qui étais à genoux, la bouche enfoutrée, mais c'était lui qui tremblait comme une feuille. J'ai aimé ce pouvoir-là. Quand il avait giclé, j'avais aimé son regard à la fois apaisé et encore affamé. Je me suis relevée, j'ai essuyé ma bouche, je l'ai poussé sur le lit. Puis, je me suis déshabillée. Lentement. Je voulais qu'il voie mon corps, tel qu'il est. Sans pouvoir le toucher, sauf du regard. J'ai campé devant lui, jambes écartées, dégoulinante, et je lui ai juste ordonné de me lécher. J'ai dit: "- Fais-moi jouir!" Et il l'a fait, il a tout donné, longuement, sans relâche. Il avait tellement besoin de me faire jouir. Son égo voulait s'envelopper dans une sorte de cape dorée. J'ai aimé mettre ma main sur le haut de sa tête, et lui écraser ma chatte contre ses lèvres. Sans lui laisser de répit. J'ai pris mon temps, avant de laisser la vague de plaisir me submerger et me faire rouler comme un coquillage. Quand j'ai coulé enfin, il a tout léché, tout avalé. J'avais le sentiment de flotter sur une eau salée, épaisse. J'étais légère, j'étais bien. Ensuite je me suis échouée épuisée sur le lit. Je crois même que j'ai failli m'assoupir, le temps semblait jouer de l'accordéon. Entre-temps, dans mon dos, il s'était dévêtu, et il est venu s'allonger derrière moi. Bien raide, à nouveau. Il avait déjà enfilé un préservatif. Il m'a juste glissé à l'oreille: "- Je préfère votre cul." Je n'ai pas protesté, je n'ai rien dit, je n'ai rien fait. Sauf tendre mes fesses vers sa verge siliconée. A peine. Il s'est emboité en moi en douceur, mais fermement, comme un propriétaire. Comme pour affirmer: "- Ce cul m'appartient." Son va-et-vient m'a bercée. Au bout d'un moment, je me suis trouvée aplatie sur le ventre. Il était allongé sur moi, en appui sur ses bras, et il me remplissait, et j'aimais sa cadence. J'avais quitté ma tête, je me vautrais dans le plaisir. J'ai commencé à gémir, parce que c'était si bon. Alors, il s'est arrêté net, et sans se retirer entièrement de mon derrière, il a juste soulevé mon bassin, il a glissé ses genoux entre les miens, pour bien les écarter; et ensuite, il s'est calé dedans entièrement, avec un râle de son cru. Et il a pris son pied, à entrer en moi, ainsi, offerte en levrette. A chacune de ses butées, ma joue frottait contre le drap de lit. je me sentais fluide, malléable, remplissable. Mes contours devenaient flous, et mes entrailles aimaient se faire labourer. Quand il fut tout près d'éjaculer, il s'est penché sur moi, pour me dire à l'oreille: "- Je vais jouir." Je me suis raidie, mon bassin attendait, il guettait la délivrance. En quelque coups de rein, il se vida. Non sans gémir: "putain ce que t'es bonne!" Oui, il s'est excusé ensuite, avec un regard de Chat Potté. Il a demandé aussi qu'on se revoie. Mais avant de le quitter, j'aurais parié qu'il avait envie de recommencer là, de suite. Je suis rentrée chez moi, comme une fleur, avec la baguette, la tarte à la rhubarbe et les pistolets. Mon mari faisait les devoirs avec les enfants, moi, j'ai fait à manger, et nous avons dîné en famille. Pendant le repas, j'ai pris conscience d'une chose: tant que je me ferai baiser par des jeunes de 20 ans, aucun risque de perdre la tête. Ni ma famille. C'est ainsi que tout a commencé, il y a 10 ans. Mais là, ce soir, je te regarde toi... Pourquoi je raconte tout ça? Tu ne dis rien, tu me jettes des coups d'oeil à la sauvette et je me demande ce que je vais bien pouvoir faire de toi... Précisément. Je prends mon temps, car tu n'iras nulle part. Ce soir, tu m'appartiens, tu es à ma disposition. Tes poignets sont attachés au lit, tu sembles aimer ce jeu. Tu bandes bien ferme, privilège de la 20aine insouciante. Tu sais, des verges impertinentes, j'en ai rencontré quelques unes. En 10 ans, j'ai eu le temps d'affiner mon instinct. Le premier indice, c'est le regard. Défiant, mais serein. Un peu comme le tien. Je glisse ma main entre tes cuisses, que tu écartes légèrement. Tu soulèves ton bassin, je fais glisser ton boxer, lentement, je le descends sur tes chevilles. Je poursuis mon élan explorateur, je soulève une à une tes couilles, j'aime les faire glisser dans ma main. Je caresse ton périnée, tu frissonnes. J'ai comme une envie de trifouiller ton cul, mais tu as un léger mouvement de recul. Oh, tu n'es pas encore prêt? rien ne presse. Je prends ta verge en main, je la soupèse, je palpe son épaisseur, je l'astique, avant de l'habiller d'un préservatif. Regarde, elle est si belle! Luisante. Puis, je la soulève un peu et je viens m'empaler dessus, dans une glissade maîtrisée, qui n'en finit plus de glisser. Je prends appui sur ton torse. Et j'entends le sifflement de l'air qui sort de ta poitrine. Ton souffle est court quand ta queue disparaît entièrement en moi. *** Vous avez écouté Déferlante, le podcast du désir.